7 avril 2013

 

Le trajet en bus pour Phnom Penh s’est bien passé. C’est notre dernière étape avant de rentrer sur Dubai.

Thomas a vraiment hâte de rentrer et en a marre de l’Asie et de la chaleur. Encore nauséeux il n’a rien mangé depuis 2 jours. La chambre de la guesthouse n’a pas de fenêtre et une climatisation qui ne fonctionne pas si bien que c’est un véritable four. Ni plus, ni moins. Thomas a de nouveau mal au ventre et la chaleur est telle que je m’inquiète. Il ne bouge plus de son lit. Moi je fais des allers retours entre notre 4^ème étage et l’accueil du rez-de-chaussée pour qu’on nous répare la clim. Déjà monter tous les bagages toute seule m’a fait perdre 2 litres d’eau ! Je trouve enfin un gros ventilateur que je remonte dans la chambre. On est lessivés. Il fait trop chaud. C’est horrible. On n’a envie de rien faire et on ne rêve que de retrouver le camping-car et son confort.

Je me suis coupée le pied dans le hall, sur un morceau de verre affuté. Je redécore chaque marche avec du rouge…

J’envisage d’amener Thomas chez un docteur mais il n’y a que l’hôpital, et Thomas est trop faible pour descendre les escaliers.  Les docteurs de l’hôpital ne se déplacent pas ici. Je reste avec lui pour le soigner et le surveiller. Vivement que ça passe !

 (nota pour la famille : pas d’affolement, c’était le 7 avril. Depuis, Thomas est totalement remis, Julie aussi et tous les 2 pètent la forme à la veille de notre retour vers l’Europe)

 Notre étage donne sur la rue…

Eh bien non ! Je ne sais pas quel est ce jeu !

Notre rue en vidéo :

http://youtu.be/swyJ10Wh6Xg

 

Le lendemain, je décide d’aller faire un petit tour dans les rues, jusqu’aux rives du Mékong qui n’est pas loin du tout. Thomas va mieux et il vient avec nous…

Toujours des plantes partout ! J'adore !

Vendeuse d'essence pour 2 roues...

Ho ? tiens ! Un temple ! ça faisait longtemps...

Un petit restaurant local...

Un barbier...

Un rickshaw...

Un coiffeur...

Mais pour le retour à la guesthouse, Thomas se sent trop faible pour marcher, on prend donc un tuk tuk. Ils n’ont rien à voir avec ceux de Bangkok ! Ici, ils conduisent tranquillement et les chauffeurs ont toujours le sourire ou une blague à la bouche. On adore.

Au repos dans la chambre, pauvre Thomas...

A plus, pour le prochain article sur Phnom Penh...